Dans son fameux album « What's going on », Marvin Gaye décrit magnifiquement une société où prime l'individualisme, avec la misère sociale et la guerre en arrière-plan, la crise écologique (l'incroyable « Mercy mercy me (the ecology) ») également, et il demande : « What's going on ? » - Que se passe-t-il ?
Quand on voit la société française en ce début novembre 2012, on ne peut qu'être frappé de comment cela correspond à ce que nous vivons. La société française est empêtré dans un conservatisme pétri d'individualisme frileux, de médiocrité culturelle toujours plus grande, d'ouverture idéologique toujours plus forte aux thèses fascistes.
Cela suinte l'instauration de l’État policier, dans la passivité générale et avec l'assentiment populiste, l'atmosphère s'emplit d'une dimension pleine de brutalité, pratiquement pogromiste.
La bourgeoisie sait d'ailleurs bien que le prolétariat va chercher la casse, alors il propose plein de fausses alternatives. Et force est de dire que cela marche. Tel est le prix de décennies d'anticommunisme : la moindre idée progressiste se voit enlevé son sol.
Tout cela était prévisible. Et c'est cela le sens de notre double démarche : rétablir la base idéologique scientifique d'un côté, produire une démarche culturelle progressiste de l'autre. Connaître l'histoire culturelle du monde, l'histoire des idées, pour saisir le sens des luttes de classe, ce qu'elles transportent comme dimension historique. Reconnaître la biosphère, refuser la vivisection tout comme les démarches divisant l'humanité en ethnies, en nations. Penser l'unification mondiale, vive sa culture. Envisager le monde unifié, métissé, scientifique et culturel, en harmonie totale avec la biosphère.
C'est cela qui va permettre de surmonter la catastrophe à venir, qui est le prix à payer du renoncement des progressistes.
Quand on voit la société française en ce début novembre 2012, on ne peut qu'être frappé de comment cela correspond à ce que nous vivons. La société française est empêtré dans un conservatisme pétri d'individualisme frileux, de médiocrité culturelle toujours plus grande, d'ouverture idéologique toujours plus forte aux thèses fascistes.
Cela suinte l'instauration de l’État policier, dans la passivité générale et avec l'assentiment populiste, l'atmosphère s'emplit d'une dimension pleine de brutalité, pratiquement pogromiste.
La bourgeoisie sait d'ailleurs bien que le prolétariat va chercher la casse, alors il propose plein de fausses alternatives. Et force est de dire que cela marche. Tel est le prix de décennies d'anticommunisme : la moindre idée progressiste se voit enlevé son sol.
Tout cela était prévisible. Et c'est cela le sens de notre double démarche : rétablir la base idéologique scientifique d'un côté, produire une démarche culturelle progressiste de l'autre. Connaître l'histoire culturelle du monde, l'histoire des idées, pour saisir le sens des luttes de classe, ce qu'elles transportent comme dimension historique. Reconnaître la biosphère, refuser la vivisection tout comme les démarches divisant l'humanité en ethnies, en nations. Penser l'unification mondiale, vive sa culture. Envisager le monde unifié, métissé, scientifique et culturel, en harmonie totale avec la biosphère.
C'est cela qui va permettre de surmonter la catastrophe à venir, qui est le prix à payer du renoncement des progressistes.
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