Cette rentrée 2012 marque la fin d'une époque. Jusqu'à présent, on pouvait éventuellement entretenir l'espoir d'arriver à enrayer, relativement au moins, la poussée de l'extrême-droite. Désormais, c'en est bien fini. La société française est un bateau qui prend l'eau brune de partout. Les restes de l'extrême-gauche se sont liquéfiés à un point tel qu'il ne reste désormais plus que l'évaporation.
Il ne reste désormais plus rien, à part des bonnes volontés, pour contrer la progression des fascistes. L'enfer étant pavé de bonnes intentions, l'antifascisme souffre d'ailleurs encore de faiblesses terribles sur le plan culturel, sans parler de l'absence de programme. Chaque initiative manque de sombrer dans le contre-productif, tellement le niveau est faible, alors que chaque jour les fascistes font des efforts pour étudier, se moderniser, se structurer, former des cadres...
Le choc va être rude pour la société française. Et ceux qui ont fait les fanfarons à l'extrême-gauche, ceux qui considèrent que le fascisme on peut s'en « moquer » et que les fascistes ne sont qu'une poignée « d'attardés », vont payer cher le prix de leur posture petite-bourgeoise. La situation est mauvaise, elle va l'être encore plus. La situation est violente par endroits, tout cela va se généraliser. L'ambiance est pourrie, elle va l'être encore plus.
Heureusement, nous avons réussi notre projet : construire un pôle culturel et idéologique productif et d'un niveau élevé. Nous produisons des armes capitales, au moyen du matérialisme dialectique : ce sont les armes de l'idéologie, qui permettent de saisir la nature des contradictions travail intellectuel / travail manuel et villes-campagnes.
Sans ces armes, on ne peut pas faire face au fascisme et tous ses multiples aspects, avec ses moyens fournis par la bourgeoisie impérialiste et sa démagogie ultra-moderne. Ce qui va se passer les prochaines années est très simple. La société bourgeoise en crise s'effondre et avec elle, son formalisme.
Un nouveau romantisme va se lever. Reste à savoir si cela sera le fascisme ou le communisme. Et même si dans une première étape, inévitablement vue la situation le fascisme va gagner sur plein de tableaux... Dans un second moment, nous saurons faire la proposition stratégique adéquate, conforme aux attentes des masses populaires. L'histoire s'accélère... C'est l'heure du Parti !
« Dans « La maladie infantile du communisme (le gauchisme) », Lénine nous enseigne que « Nier la nécessité du parti et de la discipline du parti, voilà où en est arrivée l’opposition. Or, cela équivaut à désarmer le prolétariat au profit de la bourgeoisie. Cela équivaut, précisément, à faire siens ces défauts de la petite bourgeoisie que sont la dispersion, l’instabilité, l’inaptitude à la fermeté, à l’union, à l’action conjuguée, défauts qui causeront inévitablement la perte de tout mouvement révolutionnaire du prolétariat, pour peu qu’on les encourage. »
Désarmer idéologiquement, tactiquement et en pratique les communistes : voilà la démarche de la ligne opportuniste de droite qui masque son activité derrière des grandes phrases sur l’importance de tel ou tel mouvement, de telle ou telle initiative populaire, etc. Contre cette ligne opportuniste de droite, le Parti Communiste Marxiste-Léniniste-Maoïste réaffirme la nécessité de la construction du Parti, la nécessité d’élever sans relâche le niveau idéologique des communistes et des masses. Le spontanéisme promet de grandes choses, mais il n’est que le masque de la bourgeoisie afin de liquider le Parti, sans qui les masses n’ont rien. »
PCMLM – Document n°7 Les masses font l’histoire, le Parti les dirige, août 2011
Il ne reste désormais plus rien, à part des bonnes volontés, pour contrer la progression des fascistes. L'enfer étant pavé de bonnes intentions, l'antifascisme souffre d'ailleurs encore de faiblesses terribles sur le plan culturel, sans parler de l'absence de programme. Chaque initiative manque de sombrer dans le contre-productif, tellement le niveau est faible, alors que chaque jour les fascistes font des efforts pour étudier, se moderniser, se structurer, former des cadres...
Le choc va être rude pour la société française. Et ceux qui ont fait les fanfarons à l'extrême-gauche, ceux qui considèrent que le fascisme on peut s'en « moquer » et que les fascistes ne sont qu'une poignée « d'attardés », vont payer cher le prix de leur posture petite-bourgeoise. La situation est mauvaise, elle va l'être encore plus. La situation est violente par endroits, tout cela va se généraliser. L'ambiance est pourrie, elle va l'être encore plus.
Heureusement, nous avons réussi notre projet : construire un pôle culturel et idéologique productif et d'un niveau élevé. Nous produisons des armes capitales, au moyen du matérialisme dialectique : ce sont les armes de l'idéologie, qui permettent de saisir la nature des contradictions travail intellectuel / travail manuel et villes-campagnes.
Sans ces armes, on ne peut pas faire face au fascisme et tous ses multiples aspects, avec ses moyens fournis par la bourgeoisie impérialiste et sa démagogie ultra-moderne. Ce qui va se passer les prochaines années est très simple. La société bourgeoise en crise s'effondre et avec elle, son formalisme.
Un nouveau romantisme va se lever. Reste à savoir si cela sera le fascisme ou le communisme. Et même si dans une première étape, inévitablement vue la situation le fascisme va gagner sur plein de tableaux... Dans un second moment, nous saurons faire la proposition stratégique adéquate, conforme aux attentes des masses populaires. L'histoire s'accélère... C'est l'heure du Parti !
« Dans « La maladie infantile du communisme (le gauchisme) », Lénine nous enseigne que « Nier la nécessité du parti et de la discipline du parti, voilà où en est arrivée l’opposition. Or, cela équivaut à désarmer le prolétariat au profit de la bourgeoisie. Cela équivaut, précisément, à faire siens ces défauts de la petite bourgeoisie que sont la dispersion, l’instabilité, l’inaptitude à la fermeté, à l’union, à l’action conjuguée, défauts qui causeront inévitablement la perte de tout mouvement révolutionnaire du prolétariat, pour peu qu’on les encourage. »
Désarmer idéologiquement, tactiquement et en pratique les communistes : voilà la démarche de la ligne opportuniste de droite qui masque son activité derrière des grandes phrases sur l’importance de tel ou tel mouvement, de telle ou telle initiative populaire, etc. Contre cette ligne opportuniste de droite, le Parti Communiste Marxiste-Léniniste-Maoïste réaffirme la nécessité de la construction du Parti, la nécessité d’élever sans relâche le niveau idéologique des communistes et des masses. Le spontanéisme promet de grandes choses, mais il n’est que le masque de la bourgeoisie afin de liquider le Parti, sans qui les masses n’ont rien. »
PCMLM – Document n°7 Les masses font l’histoire, le Parti les dirige, août 2011
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