Les différentes réactions politiques de la matinée prouvent bien la validité de ce qui est expliqué dans notre article publié aujourd'hui au sujet du Paris Saint-Germain. La thèse du PCMLM est juste : il y a une contradiction au sein de la bourgeoisie.
Prétendre que la bourgeoisie serait « unifiée » depuis 150 ans et que les partis politiques défendent unilatéralement la même classe sociale est une absurdité idéaliste. Une analyse matérialiste dialectique montre aisément la réalité des dissensions, qui jouent un rôle si grand dans l'effondrement des institutions.
Il est facile de voir que lorsqu'un policier explique que « On était sur le même dispositif que pour le retour des médaillés olympiques l’été dernier. Mais ce ne sont pas les mêmes supporteurs… », cela sous-tend qu'il y a eu un certain laisser-aller afin de nuire au PSG possédé par l'oligarchie qatari.
Il est facile de voir que quand Jean-François Copé, le président de l'UMP, demande le départ du préfet de police de Paris, il répond aux propos de celui-ci comme quoi « Il n’y aura plus aucune manifestation festive dans Paris pour le PSG. »
Il est facile de voir que quand Manuel Valls dit : « A l'évidence, le football est encore malade. C'est le cas pour le PSG », il abîme sciemment le projet de l'oligarchie qatari d'utiliser le PSG et l'image de Paris pour son projet expansionniste.
Comme dit dans l'article, si on voit que derrière l'oligarchie qatari soutient les islamistes au Mali, en Syrie avec la pseudo « révolution » dans une concurrence effrénée avec l'oligarchie saoudienne, alors on comprend aisément le « grand jeu » qui existe.
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