Avant l'agression impérialiste contre la Libye, il y avait eu d'intenses préparatifs idéologiques consistant en une vaste propagande médiatique, ainsi que des campagnes anarcho-trotskystes, campagnes allant très loin et jusqu'à l'appel à la fourniture d'armes par l'impérialisme à la « révolution libyenne. »
En agissant ainsi, les anarcho-trotskystes ont participé de plain-pied à la campagne dans l'opinion publique pour légitimer l'intervention impérialiste.
Aujourd'hui, ces mêmes anarchistes et trotskystes recommencent leur travail de soutien à l'impérialisme français, soit en soutenant ouvertement la « révolution syrienne », soit en mettant dos à dos l'impérialisme français – notre impérialisme, notre ennemi numéro 1 – et la dictature syrienne.
C'est un véritable travail de « cinquième colonne » pour empêcher la seule position révolutionnaire conséquente : « non à l'intervention impérialiste française », selon la logique du mot d'ordre : « pour la défaite de son propre impérialisme ! »
Un travail de sape, de « cinquième colonne », qui se masque derrière des appels à la révolte, à la révolution, suivant le principe « tout ce qui bouge est rouge », dans un spontanéisme outrancier et délirant... Et d'ailleurs, au niveau international, les pseudos maoïstes (les « centristes ») font de même, dans le prolongement de leur délire populiste et fantasmatique sur les « révolutions » égyptienne, tunisienne, libyenne...
Le document des maoïstes arabes - Non à l’agression réactionnaire, sioniste et impérialiste contre la Syrie et tous nos pays arabes! - vient donc à point pour rappeler toute une série de vérités, de réalités clairement visibles à la lumière du matérialisme dialectique.
Tout d'abord que le peuple arabe a été morcelé en différents États par les puissances impérialistes, que l'unité arabe est une étape nécessaire et va dans le sens de l'unité des peuples assumé par le socialisme.
Ne pas prendre cela en considération, c'est légitimer le morcellement impérialiste, c'est ne pas voir la réelle dynamique révolutionnaire qui existe en arrière-plan.
Ensuite, pour rappeler que la révolution c'est la destruction de l'appareil d’État, chose qui n'a pas eu lieu lors des pseudos « révolutions », comme en témoignent la vague romantique-islamiste dans ces pays, nouvel opium pour les anciens dominants.
En agissant ainsi, les anarcho-trotskystes ont participé de plain-pied à la campagne dans l'opinion publique pour légitimer l'intervention impérialiste.
Aujourd'hui, ces mêmes anarchistes et trotskystes recommencent leur travail de soutien à l'impérialisme français, soit en soutenant ouvertement la « révolution syrienne », soit en mettant dos à dos l'impérialisme français – notre impérialisme, notre ennemi numéro 1 – et la dictature syrienne.
C'est un véritable travail de « cinquième colonne » pour empêcher la seule position révolutionnaire conséquente : « non à l'intervention impérialiste française », selon la logique du mot d'ordre : « pour la défaite de son propre impérialisme ! »
Un travail de sape, de « cinquième colonne », qui se masque derrière des appels à la révolte, à la révolution, suivant le principe « tout ce qui bouge est rouge », dans un spontanéisme outrancier et délirant... Et d'ailleurs, au niveau international, les pseudos maoïstes (les « centristes ») font de même, dans le prolongement de leur délire populiste et fantasmatique sur les « révolutions » égyptienne, tunisienne, libyenne...
Le document des maoïstes arabes - Non à l’agression réactionnaire, sioniste et impérialiste contre la Syrie et tous nos pays arabes! - vient donc à point pour rappeler toute une série de vérités, de réalités clairement visibles à la lumière du matérialisme dialectique.
Tout d'abord que le peuple arabe a été morcelé en différents États par les puissances impérialistes, que l'unité arabe est une étape nécessaire et va dans le sens de l'unité des peuples assumé par le socialisme.
Ne pas prendre cela en considération, c'est légitimer le morcellement impérialiste, c'est ne pas voir la réelle dynamique révolutionnaire qui existe en arrière-plan.
Ensuite, pour rappeler que la révolution c'est la destruction de l'appareil d’État, chose qui n'a pas eu lieu lors des pseudos « révolutions », comme en témoignent la vague romantique-islamiste dans ces pays, nouvel opium pour les anciens dominants.
Inévitablement demain, par conséquent, les communistes authentiques s'opposeront totalement à l'intervention impérialiste en Syrie, intervention ouverte, car de fait l'impérialisme français agit déjà en sous-main en Syrie, cherchant à faire tomber le régime ; cela afin de remplacer une bourgeoisie bureaucratique par une autre, de remplacer la clique liée à la Russie et à la Chine par une clique inféodée aux autres puissances impérialistes (France, Allemagne, USA...).
La ligne communiste est simple : pour la défaite de son propre impérialisme ; la révolution (démocratique ou socialiste) est à l'ordre du jour partout dans le monde, et le drapeau ne peut être que rouge, la direction seulement marxiste-léniniste-maoïste, la forme et le contenu seulement la guerre populaire !
La ligne communiste est simple : pour la défaite de son propre impérialisme ; la révolution (démocratique ou socialiste) est à l'ordre du jour partout dans le monde, et le drapeau ne peut être que rouge, la direction seulement marxiste-léniniste-maoïste, la forme et le contenu seulement la guerre populaire !
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