Édito
28/9/2013 Chaque jour qui passe marque l'approfondissement de la contradiction entre les villes et les campagnes. Le capitalisme décadent façonne le monde à son image, mutilant la biosphère. Malgré la réalité du réchauffement climatique et les catastrophes, la bourgeoisie ne peut que constater, accepter et tenter de « gérer », comme en témoignent Fukushima, ou encore les conférences de Durban et Rio+20. Le dernier rapport du GIEC ne déroge pas à la règle, se préoccupant simplement de tenter de proposer des constats et des solutions pour arrondir les angles du dérèglement général du climat de la biosphère.
L'appel fait avec nos camarades du Bangladesh - Faisons face au changement climatique! - est ainsi toujours plus d'actualité.
28/9/2013 Chaque jour qui passe marque l'approfondissement de la contradiction entre les villes et les campagnes. Le capitalisme décadent façonne le monde à son image, mutilant la biosphère. Malgré la réalité du réchauffement climatique et les catastrophes, la bourgeoisie ne peut que constater, accepter et tenter de « gérer », comme en témoignent Fukushima, ou encore les conférences de Durban et Rio+20. Le dernier rapport du GIEC ne déroge pas à la règle, se préoccupant simplement de tenter de proposer des constats et des solutions pour arrondir les angles du dérèglement général du climat de la biosphère.
L'appel fait avec nos camarades du Bangladesh - Faisons face au changement climatique! - est ainsi toujours plus d'actualité.
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