À bas l’odieuse loi 78!
Le masque de la démocratie bourgeoise est tombé.
Cette loi est injuste: le combat pour la rendre inapplicable est parfaitement légitime!
Le 18 mai, le gouvernement Charest a démontré le vrai visage du système parlementaire et de l’État bourgeois. Il veut restreindre le droit de parole, le droit de contester et le droit de changer les choses… et ne permettre qu’une journée de démocratie à tous les quatre ans.
Si à chaque jour les travailleuses et travailleurs, les étudiantes et étudiants, les exploitéEs de la société avaient le droit de s’exprimer vraiment, de participer aux décisions du gouvernement, il y a longtemps que le monde aurait changé. Pour qu’il reste ce qu’il est, l’État bourgeois a besoin d’imposer ses lois par la force; il a besoin de faire taire ceux qui le contestent dès qu’ils se manifestent, car ils sont trop nombreux.
Par l’odieuse loi 78, il interdit la démocratie populaire, d’abord aux étudiantes et étudiants, mais également à tous ceux et celles qui souhaitent contester l’ordre établi. Il leur interdit de manifester dans les faits, dans le seul but de protéger l’économie des riches (pas la nôtre!): le Grand Prix du Canada, sa campagne électorale, les banques et les affaires. Les droits des riches sont tout pour l’État bourgeois; les droits des pauvres ne sont que du vent.
On permet aux compagnies de fermer sauvagement comme à Aveos, on leur permet d’imposer des baisses de salaires ou des lock-out comme chez Alcan, et on permet à leurs dirigeants de profiter de bonus faramineux. L’État de la bourgeoisie interdit la démocratie populaire pour cacher le fait que la société capitaliste est remplie d’inégalités et est en fait au seul service des riches, des compagnies, du milieu des affaires. Se battre contre cet état des choses, s’opposer à la violence réactionnaire de l’État bourgeois et à ses lois illégitimes et injustes, c’est faire un pas de géant vers notre libération.
Tous et toutes avec les étudiants et étudiantes!
Manifestons et refusons les amendes! Refusons de jouer à la police!
Quand nous disons que «sans pouvoir politique, tout n’est qu’illusion», cela veut dire que sans véritable révolution, il n’y aura pas de solution! La démocratie prolétarienne et populaire ne peut exister sous le capitalisme, ni dans le système parlementaire actuel, ni par des élections contrôlées de a à z par la bourgeoisie. La démocratie populaire, c’est le pouvoir populaire. Et le pouvoir populaire, c’est le socialisme, vers le communisme!
Battons-nous pour que cela change! Osons lutter et nous vaincrons! Le Parti communiste révolutionnaire (section Québec)
Cette loi est injuste: le combat pour la rendre inapplicable est parfaitement légitime!
Le 18 mai, le gouvernement Charest a démontré le vrai visage du système parlementaire et de l’État bourgeois. Il veut restreindre le droit de parole, le droit de contester et le droit de changer les choses… et ne permettre qu’une journée de démocratie à tous les quatre ans.
Si à chaque jour les travailleuses et travailleurs, les étudiantes et étudiants, les exploitéEs de la société avaient le droit de s’exprimer vraiment, de participer aux décisions du gouvernement, il y a longtemps que le monde aurait changé. Pour qu’il reste ce qu’il est, l’État bourgeois a besoin d’imposer ses lois par la force; il a besoin de faire taire ceux qui le contestent dès qu’ils se manifestent, car ils sont trop nombreux.
Par l’odieuse loi 78, il interdit la démocratie populaire, d’abord aux étudiantes et étudiants, mais également à tous ceux et celles qui souhaitent contester l’ordre établi. Il leur interdit de manifester dans les faits, dans le seul but de protéger l’économie des riches (pas la nôtre!): le Grand Prix du Canada, sa campagne électorale, les banques et les affaires. Les droits des riches sont tout pour l’État bourgeois; les droits des pauvres ne sont que du vent.
On permet aux compagnies de fermer sauvagement comme à Aveos, on leur permet d’imposer des baisses de salaires ou des lock-out comme chez Alcan, et on permet à leurs dirigeants de profiter de bonus faramineux. L’État de la bourgeoisie interdit la démocratie populaire pour cacher le fait que la société capitaliste est remplie d’inégalités et est en fait au seul service des riches, des compagnies, du milieu des affaires. Se battre contre cet état des choses, s’opposer à la violence réactionnaire de l’État bourgeois et à ses lois illégitimes et injustes, c’est faire un pas de géant vers notre libération.
Tous et toutes avec les étudiants et étudiantes!
Manifestons et refusons les amendes! Refusons de jouer à la police!
Quand nous disons que «sans pouvoir politique, tout n’est qu’illusion», cela veut dire que sans véritable révolution, il n’y aura pas de solution! La démocratie prolétarienne et populaire ne peut exister sous le capitalisme, ni dans le système parlementaire actuel, ni par des élections contrôlées de a à z par la bourgeoisie. La démocratie populaire, c’est le pouvoir populaire. Et le pouvoir populaire, c’est le socialisme, vers le communisme!
Battons-nous pour que cela change! Osons lutter et nous vaincrons! Le Parti communiste révolutionnaire (section Québec)
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