Il y a 20 ans, le vieil Etat péruvien présentait le dirigeant du Parti Communiste dans une cage, en tenue de bagnard. L'idée était, bien sûr, de se moquer et de présenter comme défaite la guerre populaire au Pérou.
C'était bien mal comprendre – chose logique de la part des réactionnaires – la dialectique et le mouvement de la vie. Gonzalo a en effet commencé à tenir un discours enflammé, saluant la lutte armée et sa continuité, jusqu'à la victoire, encourageant à la lutte et à la révolution.
« Nous sommes ici dans ces circonstances, certains pensent qu'il s'agit d'une défaite. Ils se leurrent! Qu'ils continuent de rêver. C'est tout simplement un détour, rien de plus, un détour sur notre route! La route est longue, nous la parcourrons et puis nous triompherons! Vous le verrez, vous le verrez! »
Depuis, Gonzalo n'a plus été vu publiquement, il est enfermé dans les geôles du régime. Un régime qui n'a pas hésité à produire de fausses lettres demandant un « accord de paix » ou bien à publier une fausse biographie. Tout cela, afin de ruiner le prestige de Gonzalo et les acquis de la guerre populaire au Pérou.
Les flammes révolutionnaires ont cependent continuer de brûler, comme l'a montré la guerre populaire au Népal, qui a directement profité des enseignements de Gonzalo. Mais le révisionnisme et l'opportunisme ont planté un poignard dans le dos de la révolution là-bas, et tentent de faire de même en Inde.
C'est pourquoi il faut d'autant plus saluer le discours de Gonzalo de 1992, véritable leçon pour les révolutionnaires quant à la nécessité d'arboter, de défendre et d'appliquer le maoïsme, et ce avec l'enthousiasme le plus débordant.
Défendre Gonzalo, c'est défendre le maoïsme, le véritable maoïsme, pas ses contrefaçons qui pullulent et qui réduisent le maoïsme à un populisme radical célébrant le spontanéisme et vivant d'incantations. Défendre Gonzalo, c'est comprendre le maoïsme et ses enjeux, sa dimension : la nouvelle vague de la révolution mondiale.
Rappelons ainsi que les documents du PCP sont archivés ici, et également l'importance d'étudier leur signification et leur dimension, comme par exemple avec les articles Gonzalo, fidèle défenseur de la thèse comme quoi rien n'est indivisible, La vie, la matière, l'univers: qu'est-ce qu'une pensée? ou encore Le sens de la prose poétique de Gonzalo.
C'était bien mal comprendre – chose logique de la part des réactionnaires – la dialectique et le mouvement de la vie. Gonzalo a en effet commencé à tenir un discours enflammé, saluant la lutte armée et sa continuité, jusqu'à la victoire, encourageant à la lutte et à la révolution.
« Nous sommes ici dans ces circonstances, certains pensent qu'il s'agit d'une défaite. Ils se leurrent! Qu'ils continuent de rêver. C'est tout simplement un détour, rien de plus, un détour sur notre route! La route est longue, nous la parcourrons et puis nous triompherons! Vous le verrez, vous le verrez! »
Depuis, Gonzalo n'a plus été vu publiquement, il est enfermé dans les geôles du régime. Un régime qui n'a pas hésité à produire de fausses lettres demandant un « accord de paix » ou bien à publier une fausse biographie. Tout cela, afin de ruiner le prestige de Gonzalo et les acquis de la guerre populaire au Pérou.
Les flammes révolutionnaires ont cependent continuer de brûler, comme l'a montré la guerre populaire au Népal, qui a directement profité des enseignements de Gonzalo. Mais le révisionnisme et l'opportunisme ont planté un poignard dans le dos de la révolution là-bas, et tentent de faire de même en Inde.
C'est pourquoi il faut d'autant plus saluer le discours de Gonzalo de 1992, véritable leçon pour les révolutionnaires quant à la nécessité d'arboter, de défendre et d'appliquer le maoïsme, et ce avec l'enthousiasme le plus débordant.
Défendre Gonzalo, c'est défendre le maoïsme, le véritable maoïsme, pas ses contrefaçons qui pullulent et qui réduisent le maoïsme à un populisme radical célébrant le spontanéisme et vivant d'incantations. Défendre Gonzalo, c'est comprendre le maoïsme et ses enjeux, sa dimension : la nouvelle vague de la révolution mondiale.
Rappelons ainsi que les documents du PCP sont archivés ici, et également l'importance d'étudier leur signification et leur dimension, comme par exemple avec les articles Gonzalo, fidèle défenseur de la thèse comme quoi rien n'est indivisible, La vie, la matière, l'univers: qu'est-ce qu'une pensée? ou encore Le sens de la prose poétique de Gonzalo.
Rien n'est indivisible! L'univers est éternel et infini!
La pensée est le reflet de la matière éternelle en mouvement dialectique, en marche inébranlable vers le communisme!
Guerre Populaire jusqu'au communisme!
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